Pour bâillonner la société civile, le président a d’abord mis au pas le système judiciaire avant de promulguer un décret-loi contre la cybercriminalité, aux termes très vagues, qui lui permet de multiplier les poursuites contre ses détracteurs.Le président tunisien, Kaïs Saïed, après sa prestation de serment devant l’Assemblée nationale, à Tunis, le 21 octobre 2024.
En Tunisie, les rouages de la machine liberticide construite par Kaïs Saïed
Scritto il 25/04/2025